Développer une entreprise à partir d’une idée n’est pas si évident que ça ! Heureusement il y a des outils et services pour assister les entrepreneurs. Une bonne idée ne peut se développer pleinement que si elle est élaborée avec méthode, et les bons outils.
Il faut structurer la gestion des bonnes idées par un accompagnement en partageant, en écoutant les avis, en hiérarchisant les points d’intérêts et en centralisant tous ces éléments dans un seul et même outil ou lieu de travail.
Ainsi on peut se créer un centre de ressources auxquels il est possible de se référer durant le développement du projet d’entreprise. Cette source de stockage permet d’expérimenter ce qui marche ou ne marche pas, ce qui constitue un stock appréciable de retours d’expériences et évite la perte de temps et d’argent.
Une des options à retenir, dans le cadre de développement d’idée, est de ne pas s’arrêter au briefing du chef d’entreprise, mais de remettre en question l’idée ou le projet, et s’interroger sur les différentes approches possibles, pour voir véritablement ce que veut notre interlocuteur. Il est nécessaire de démonter le projet pour examiner les problèmes potentiellement à résoudre. On constate souvent que dans l’enthousiasme de la bonne idée, il y a des manques de clarté, de vision et de finalité. On a surtout tendance à se focaliser sur les potentiels de résultats plutôt que de la valeur ajoutée qui va être apportée ce qui est garant de la pérennité.
Un des bons moyens est de prendre une feuille afin de réfléchir avec le chef d’entreprise plus largement à l’opportunité du projet et explorer les différentes stratégies commerciales possibles. Une fois le projet cerné et l’idée bien comprise, il faut se pencher sur le comportement clients. Il faudra analyser les façons dont va être utilisée « la bonne idée », sur quel type de support, l’accompagnement et l’apprentissage nécessaire auprès des cibles clients, et peut-être sur l’impact dans leur vie quotidienne.
Il y a différentes hypothèses pour avoir un retour d’expérience client, par exemple à travers un site Web où l’on peut voir assez rapidement les niveaux d’intérêt par les contacts sur le site et la navigation sur celui-ci. On peut par exemple mettre en avant une offre imminente. Tout est dans la manière dont est conçue cette approche. Il y a évidemment d’autres outils qui sont souvent assez simples et pragmatiques qui permettent d’épargner parfois des budgets importants. Il faut se faire accompagner.
Tout projet peut venir d’une inspiration initiale ou d’une quelconque observation qui a retenu l’attention dans l’univers métiers du chef d’entreprise ou futur chef d’entreprise. C’est une combinaison d’apprentissage basée sur des expériences personnelles et de réseaux sociaux spécialisés très ciblées.
Il arrive souvent qu’un projet naisse tout simplement pour répondre un besoin, tout en sachant que pour cerner les attentes clients, sur telle ou telle ligne de commercialisation, un background d’expérience métier est primordial. Il est rare que les bonnes idées surgissent dans un secteur de métiers peu connus ou pas expérimenté par l’initiateur du projet.
L’intérêt du site Web est de permettre à différents individus de trouver des solutions à partir de besoins similaires. À partir de cette masse de contacts, qui peut être d’un volume modeste, il est concevable d’amener ce groupe de contacts vers des produits ou services et approfondir les différentes offres possibles de l’entreprise ou du projet. L’effet de masse sur une offre peut-être très opérationnelle et apporter des avantages certains. Cette approche est dénommée dans le monde du marketing le « crowdsourcing ».
En résumé, dans tous projets de développements ou de bonnes idées, il faut échanger avec des compétences, être curieux et surtout malgré une ambition certaine et une volonté de créer, avoir le désir modeste permanent d’apprendre…et bien s’entourer à terme.
Un homme ne peut apprendre ce qu’il croit déjà connaître… (Épictète)
Odis Data 18/11/2020